Ces idées reçues sur le statut d’indépendant à déconstruire

Loin des idées reçues, le statut d’indépendant séduit !

Précarité, surcharge de travail, solitude… Les idées reçues sur le statut d’indépendant sont nombreuses… et malheureusement trompeuses. Et le problème avec les préjugés, c’est qu’ils se répandent vite et perdurent longtemps. Pourtant, être son propre patron, mieux gagner sa vie, être libre de choisir son planning et ses missions, c’est cela la réalité du quotidien des talents à leur compte. Loin de ces préjugés infondés, Brigad valorise ce statut pour que les professionnels de la restauration et de la santé vivent pleinement et librement de leur passion. Le point.

Être à son compte, c’est vivre dans la précarité

« Qui n’offre nulle garantie de durée, de stabilité, qui peut toujours être remis en cause ». Voici la définition que nous donne Larousse.fr du terme « précaire ». Ainsi, à l’inverse du salarié en CDI dont l’emploi serait stable et les droits sociaux assurés, le professionnel à son compte ne pourrait pas compter sur des revenus stables et réguliers, ni même des droits sociaux. Pour Brigad, c’est là un premier stéréotype bien ancré, mais totalement erroné. Qu’en est-il vraiment ?

On ne gagne pas sa vie en étant à son compte

C’est une des plus grandes idées reçues sur le statut d’indépendant. Pourtant, l’Insee souligne que les revenus d’activité de ces professionnels sont en moyenne de 3580 € par mois. Alors, non le talent à son compte n’est pas destiné à manger des pommes de terre premier prix toute sa vie (et heureusement !). S’il n’a pas de revenus égaux et réguliers chaque mois et a du mal à convaincre les banquiers, son revenu annuel est souvent bien plus important que celui d’un salarié. Ce professionnel est en effet rémunéré au juste prix et gagne sa vie tout à fait convenablement.

L’exemple illustré par Brigad :

Chez Brigad, les personnels de la restauration et de la santé effectuent des missions rémunérées 20 € de l’heure minimum. Une juste rémunération de ces métiers de savoir-faire, bien au-delà du SMIC perçu par bon nombre d’employés.

Le professionnel à son compte n’a pas de CDI, il n’a aucune sécurité de l’emploi

Pas de CDI, pas de crédit : les idées reçues sur le statut d’indépendant ont décidément la vie dure. Si les banquiers semblent le voir d’un autre œil, il serait pourtant faux de penser que ce professionnel attend de ne plus avoir de missions pour en chercher de nouvelles. Certes, il n’est pas overbooké sur les dix années à venir, ni même sur l’année en cours. Mais, son agenda est souvent bien rempli. C’est d’autant plus vrai que des intermédiaires numériques comme Malt.fr, Kamatz.com, Codeur.com, Freelancer.com ou Brigad.co, Tenors.fr et Scribeur.com pour les sites spécialisés dans un corps de métier, facilitent grandement la quête. Le portage salarial est aussi une option.

De son côté, le salarié n’est pas à l’abri d’un licenciement économique ou d’une démission. Un préjugé encore infondé, donc…

L’exemple illustré par Brigad :

Les entreprises ont souvent besoin de talents pour des missions de courte, voire très courte durée, en remplacements occasionnels ou en renforts ponctuels. Et deux jours ici, trois jours-là, cela fait une semaine bien remplie. Brigad l’illustre bien puisque ce sont en moyenne 100 propositions de missions ponctuelles par mois qui sont proposées à chaque talent utilisateur de l’application.

La retraite et la protection sociale du professionnel à son compte, ça n’existe pas

Parmi les idées reçues sur le statut d’indépendant, figure aussi le concept original selon lequel celui-ci ne pourrait pas s’offrir le luxe de tomber malade, d’avoir un accident de travail ou encore de percevoir une retraite. C’est là un autre cliché qui n’a pas lieu d’être.

Il est vrai que le système de protection sociale actuel a été pensé pour les salariés plus que pour ces talents qui travaillent pour leur propre compte et que des disparités persistent. Néanmoins, la sécurité sociale des indépendants existe bien. Oui, cet homosapien paie des charges, comme les autres. Il bénéficie donc, lui aussi, d’une protection sociale et d’une retraite. Par ailleurs, comme un employé, il peut souscrire des assurances complémentaires.

L’exemple illustré par Brigad :

Sur notre application, les professionnels de l’hôtellerie-restauration ou du médico-social bénéficient de deux couvertures gratuites incluses dans leur contrat :

  • La Responsabilité civile professionnelle (RC pro) avec AXA : elle les couvre en cas de dommages matériels ou corporels causés à des tiers lors d’une mission.
  • Un revenu de sécurité :
  • Soit dans le cas d’une Interruption temporaire de Travail (ITT), avec Indeez : il permet de compenser les pertes de revenus consécutives à l’ITT pendant 45 jours.
  • Soit dans le cas d’un accident, avec AIG : il permet de se constituer un capital disponible en cas d’invalidité absolue et définitive ou de décès.

Se mettre à son compte, un vrai casse-tête ?

Que nenni ! Encore et toujours des idées reçues sur le statut d’indépendant totalement injustifiées. Se mettre à son compte n’est pas un parcours du combattant. Il est évidemment nécessaire de procéder à quelques démarches administratives. Rien de bien compliqué, toutefois. Sinon, nous n’aurions ni boulangeries, ni infirmières, ni graphistes ou plombiers, n’est-ce pas ?

Et pour les talents désireux de créer une micro-entreprise, ce cliché est d’autant plus infondé que quelques clics suffisent à s’immatriculer au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers ! Par ailleurs, des organismes comme la chambre des métiers de l’artisanat, la Chambre de commerce et d’industrie, l’ADIE ou Pôle emploi aident les futurs professionnels à leur compte dans leurs démarches.

Des devis, des factures, toujours de la paperasse…

Il faut l’admettre, être à son compte c’est être un véritable chef d’orchestre : outre la recherche de clients et les missions à effectuer, ce professionnel prend également à sa charge les devis, les factures, les déclarations fiscales… Toutefois, la partie administrative n’est pas si chronophage qu’on veut bien le croire. Là encore, il n’y a aucune raison d’y passer ses journées.

Une fois le modèle créé, il suffit de le remplir. Avouez que ce n’est quand même pas le cap Horn. Petit moussaillon dispose par ailleurs de nombreux logiciels et applications permettant d’éditer les précieux documents en toute simplicité… et souvent gratuitement. Voilà encore une autre fausse idée sur le statut d’indépendant.

Être à son compte, c’est travailler 24h/24, 7j/7

Il est vrai que les revenus du professionnel qui est à son compte dépendent entièrement de la qualité de son travail (ou presque) et des efforts fournis. Il lui faudra donc parfois travailler un peu plus que de coutume. Mais, cela ne veut pas dire qu’il doive se démener 24h/24, 7j/7. S’il faut parfois accepter des heures supplémentaires, chaque jour a bien un début et une fin. Certaines journées ou certains mois seront peut-être saturés quand d’autres seront plus tranquilles.

Cette nouvelle idée reçue sur le statut d’indépendant n’est donc pas fondée. Ce professionnel peut évidemment :

Il a cette liberté que n’a pas le salarié : il peut gérer son agenda !

Le professionnel à son compte n’a pas de vie sociale

Autre préjugé à déconstruire : être à son compte c’est être seul et ne voir personne. Non, ce professionnel n’est pas un ours qui ne sort de sa taverne que pour piquer une tête, se gratter le dos ou se sustenter. S’il ne travaille pas, entouré de collègues, il a des amis, de la famille, des activités sportives ou musicales. Il reste en contact avec le monde extérieur.

Ces idées reçues sur le statut d’indépendant sont d’autant plus injustifiées que cet univers moderne dans lequel nous vivons, lui offre aussi la possibilité de travailler dans un espace de coworking, un parc ou un bar et de faire des rencontres. Et puis, qu’on se le dise, tous les métiers qui permettent de travailler à son compte ne s’effectuent pas chez soi (autre stéréotype bien ancré). N'a-t-on jamais vu servir un café ou poser un cathéter par écran interposé ? Dans les secteurs de la restauration et de la santé, le contact est au contraire permanent. Être indépendant en entreprise, ce n’est donc pas seulement télétravailler.

Brigad balaye les idées reçues sur le statut d’indépendant

Faire appel aux talents utilisateurs de Brigad, c’est faire appel à des professionnels qui ont choisi le travail indépendant comme mode de vie. Parce que, contrairement aux nombreux préjugés recensés dans cet article, se mettre à son compte, c’est faire le choix :

  • D’une grande liberté et de flexibilité.
  • De meilleures conditions de travail et de vie.
  • De mieux gagner sa vie.

Pour leur permettre de développer une carrière stable, pérenne et de vivre pleinement de leur indépendance, nos équipes veillent chaque jour à créer un écosystème riche. Au-delà de la « juste rémunération du travail » et des assurances complémentaires, Brigad a donc mis en place de nombreux dispositifs et négocie régulièrement des avantages pour soutenir le développement de leur activité. Tour d’horizon.

Une entreprise à mission qui met en avant le statut de professionnel à son compte

« Valoriser le travail et le rendre accessible à tous », voici la raison d’être de Brigad. Depuis 2016, notre application place la communauté de talents au centre de ses attentions. C’est pourquoi, en 2019, Brigad devient une entreprise à mission. Six engagements la guident :

  • Augmenter l’offre de travail disponible
  • Favoriser l’augmentation des revenus
  • Lutter contre le travail illégal et non déclaré
  • Encourager l’égalité des chances et des opportunités
  • Développer une technologie simple d’utilisation
  • Favoriser de meilleures conditions de travail

Le pari est réussi puisqu’aujourd’hui, ce sont près de 15 000 missions réalisées chaque mois, 7 200 établissements utilisateurs et plus de 12 000 talents inscrits.

Des partenariats pour faciliter l’indépendance

Besoin d’une tenue pour assurer les missions, d’une aide financière, du permis de conduire ou encore de déménager ? Pour faciliter la vie des professionnels à leur compte utilisateurs et les soutenir dans le développement de leur activité, notre application met à leur disposition :

  • Des aides à la mobilité grâce à des réductions sur le permis de conduire, avec Ornikar.
  • Jusqu’à 100 000 € d’emprunt pour financer un projet professionnel, avec Mansa.
  • Un coup de pouce financier, avec Finfrog.
  • Un accès au logement facile grâce à Cautioneo qui se porte garant.
  • Des codes promo avantageux pour se fournir en uniformes et autres tenues de mission, avec Vetementpro.com.

Autant de partenariats, noués avec les meilleures entreprises innovantes du marché, qui bousculent plus encore les préjugés relatifs à la précarité.

Soutenir et accompagner les talents à leur compte

Au risque de balayer les idées reçues sur le statut d’indépendant relatives à la solitude et l’incertitude, Brigad va encore plus loin dans son accompagnement : elle organise des évènements avec la communauté de talents. Ceux-ci peuvent ainsi partager leur expérience et développer pleinement leur activité. Et pourquoi pas, faire de belles rencontres !

Et vous, direz-vous stop aux idées reçues sur le statut d’indépendant ? Contactez-nous !

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