Comment se déplacer en ville quand on travaille en horaires décalés ?

Plus de 13 millions d’actifs travailleraient en horaires décalés, selon la Dares, et une grande majorité d’entre eux exerçant dans nos secteurs de cœur : l’hôtellerie-restauration et le sanitaire et médico social.

Mais, quand il est relativement simple d’effectuer les trajets domicile-travail en transport en commun durant la journée, il en est tout autrement pour les professionnels se déplaçant de nuit, les weekends ou les jours fériés. Lorsqu’à cela s’ajoute le coût de multiples allers-retours (dans le cas d’horaires discontinus, par exemple) ou celui du stationnement, le plaisir de rejoindre son lieu de travail peut vite s’estomper...

Chez Brigad, nous en sommes pleinement conscients : ces deux secteurs éprouvent déjà bien des difficultés à recruter. C’est pourquoi, nous avons souhaité vous faciliter la mobilité avec ces quelques idées, à inclure ou non dans votre Plan de Mobilité.

Ready ?

Quel transport en commun après minuit ?

Les douze coups ont sonné. Dans de nombreuses villes, trains, métros et bus ne circulent plus. À Paris toutefois, la voie souterraine est encore accessible, sur la majorité des lignes, jusqu’à 1h15 du dimanche au jeudi, et jusqu’à 2h15 le vendredi, le samedi et les veilles de fêtes. Mais métros et RER ne reprendront du service qu’à partir de 5h30.

Pour circuler dans la capitale durant ce créneau, il faudra alors emprunter le bus de nuit ou Noctilien. À Bordeaux, ce sera le TBNight (jeudi, vendredi, samedi et veilles de jours fériés) et à Lille, le Llévia, du jeudi au samedi.

Quelles solutions alternatives aux transports en commun ?

Que celles et ceux qui ne souhaitent ou ne peuvent pas emprunter le transport en commun se rassurent : il existe d’autres solutions !

À l’ère de la mobilité « verte », il peut être judicieux d’envisager la mise en commun des déplacements de vos employés et des talents. Le covoiturage entre professionnels d’un même établissement est en effet une solution à la fois économique et pratique, de plus en plus prisée. De la même manière, un service d’autopartage peut être mis en place avec un autre établissement, par exemple.

Pour les plus courageux, à condition toutefois qu’ils ne soient pas trop fatigués et que la distance soit raisonnable, le vélo est une option alliant écologie, économie et flexibilité de stationnement : dans les grandes villes, il est généralement accessible, un peu partout, en libre-service, à un tarif, entreprise ou particulier, tout à fait abordable.

Le taxi ou le VTC sont disponibles à tout moment, mais resteront sans aucun doute des solutions de dernier recours, compte tenu de leur coût.

La mobilité électrique, une alternative aux différentes contraintes parisiennes

Entre la vignette Crit’air, le stationnement désormais payant pour qui souhaiterait garer son deux-roues thermique et l’augmentation du coût de l’essence, se déplacer à Paris ne se fait malheureusement pas toujours dans la joie et l’allégresse.

Et si se déplacer en scooter électrique ou en vélo était LA solution ? En optant pour une mobilité douce, vous circulez librement dans les zones à faibles émissions (ZFE) et ne déboursez plus un centime pour votre stationnement ou votre carburant.

Plusieurs entreprises proposent aujourd’hui à la location des deux-roues électriques. C’est le cas de ZEWAY qui propose une solution (alléchante) de scooters électriques rechargeables en 50 secondes à partir de 130€ par mois ! 

Son secret ? Un réseau de plus de 40 stations situé chez Monoprix, TotalEnergies, Esso, EFFIA, ou encore BNP PARIBAS, afin d’échanger sa batterie vide contre une pleine en moins d’une minute.

Chez ZEWAY, les abonnements « Tout Inclus » se font avec ou sans engagement à partir de 130€ par mois. Et pour les utilisateurs de Brigad, notre partenaire n’a évidemment pas oublié la petite cerise sur le gâteau : une réduction de 130 € sur tout abonnement souscrit ! (Code promo : BRIGAD)

Alors, pourquoi ne pas profiter d’un essai gratuit ? Suivez-nous, c’est par ici !

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